La soi-disant révolution syrienne et l’armée syrienne libre financées par plusieurs états arabes et occidentaux, sont inculpées dans des négociations avec des dirigeant israéliens qui a furent et a mesure durant des mois, ont soutenus ouvertement l’opposition syrienne (dernièrement le ministre israélien Liberman avait organisé un concert musical dédié à l’opposition).
Pour sa part l’opposition a certifiée à l’ennemi sioniste qu’en cas de réussite les relations entre la Syrie et Israël changeront, promettant de couper toutes relations avec l’Iran et les résistances arabes dont le Hamas et le Hezbullah.
Il est claire jusqu'à présent que celui qui profite le plus de la situation en Syrie, est l’entité sioniste qui voit dans le chaos syrien une réussite israélienne qui a tend voulu semer les conflits dans les pays arabes afin de diviser les peuples arabes et de les éloigner de la cause palestinienne.
Le rédacteur en chef du quotidien israélien Haaretz, Aluf Benn, explique en cinq points sur Twitter, pourquoi le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, d’une part craint la chute du régime, d’autre part il poursuit son soutient répugnant à l’opposition armée qui commet des tueries partout dans le pays, et qui veut renverser le régime d’al-Assad connu pour ses position antisioniste.
Natanyaho sait très bien que dans le cas où le président syrien, quitte le pouvoir en Syrie, le pays rentrera dans une phase inconnue et incertaine, avec toutes les armes emportés en Syrie et les nombreux services de renseignements étrangers sur le territoire, et l’infiltration d’al-Qaida…l’inquiétude est grande !
Le journaliste israélien, connu pour être critique à l'endroit de M. Nétanyahou, élabore sa théorie selon laquelle il prétend que le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou soutient implicitement le président syrien Bachar el-Assad, Cette théorie au sens contradictoire hérétique est posée par Aluf Benn, rédacteur en chef du quotidien israélien Haaretz, sur son compte Twitter. D’pares lui Natanyaho profite de la situation :
• « Parce qu'un, Assad affaibli semble être le meilleur scénario pour Israël » ;
• « Parce que ça occupe l'Iran qui tente de sauver son allié, et ça envoie le Hezbollah aux abris » ;
• « Parce que s'impliquer fait courir le risque d'une guerre et de [missiles] Scud sur Tel Aviv ;
• « Parce que la situation actuelle éloigne toute discussion sur une évacuation du [plateau du] Golan (territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël, ndlr) » ;
• « Parce que ça divise la communauté arabe au sein de l'Etat d'Israël ;
Une Syrie antisioniste, stable et unis (comme elle l’était auparavant), est un problème pour l’entité sioniste, d’autre part une Syrie sans président ni gouvernement fait également peur à « Israël », alors qu’une Syrie instable, coulant dans la guerre civile et la terreur, c’est exactement ce que veut l’ennemi sioniste !!
