La Russie affirme qu’il n’existe aucune alternative au PAGC

"La Russie a toujours estimé qu'il n'y avait pas de plan B réaliste et qu'il n'y avait pas d'alternative au #PAGC. Nous pouvons maintenant voir que la Russie avait raison", a écrit Oulianov sur X.

Le PAGC a été signé en 2015 entre l’Iran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU et l’Allemagne. L’ancien président américain Donald Trump s’est retiré illégalement de l’accord en 2018, tandis que l’actuel président américain, Joe Biden, a indiqué qu’il était prêt à ressusciter l’accord.

La Russie, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Chine, les États-Unis et la France sont en pourparlers avec l’Iran depuis avril 2021 pour rétablir l’accord.

Les pourparlers visant à sauver le JCPOA ont débuté à Vienne, la capitale autrichienne, en avril 2021, dans le but d’examiner le sérieux de Washington dans sa réadhésion à l’accord et la levée des sanctions anti-iraniennes.

Les négociations sont au point mort depuis août en raison de l’insistance de Washington sur sa position intransigeante consistant à ne pas lever toutes les sanctions imposées à la République islamique par la précédente administration américaine. L'Iran maintient qu'il est nécessaire que l'autre partie offre certaines garanties qu'elle restera attachée à tout accord conclu.