Liberté dans son sens général, c'est l'absence de limitations qui lie l'énergie et les capacités humaines, qu'il s'agisse de limitations matérielles ou spirituelles, ce qui inclut la liberté de l'esclavage d'une personne, d'un groupe ou de soi et la liberté des pressions exercées sur une personne pour mettre en œuvre un objectif, a dit Sayed Saad Ahmad Al-Aarji religieux chiite irakien, lors du webinaire de la 37e Conférence pour l'unité organisée par le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques (CMREI).
De cette manière, la liberté signifie la perte de toutes les valeurs et de la morale qui veulent libérer l'âme sans aucune restriction, et son introduction est la liberté intellectuelle. La liberté intellectuelle absolue signifie donc dissolution et destruction, a-t-il souligné.
Avec l'avènement de l'Islam, le sens de la liberté s'est manifesté dans un concept différent, cohérent avec les valeurs, la morale et la charia. La liberté ne peut être sans restrictions, et l'absence de restrictions signifie chaos, désorganisation et instabilité de l'homme et de la société, a-t-il précisé.
La principale règle de liberté dans l'Islam est la servitude et la foi en Dieu, l'absence de servitude aux caprices et la servitude envers un autre que Dieu Tout-Puissant. Par conséquent, l'idée de liberté dans l'Islam est basée sur la croyance en l'unicité de Dieu et en son règne sur l'existence, a-t-il marqué.
La liberté de pensée religieuse signifie ne pas sortir du cadre islamique, qui est lié au fil de la servitude envers Dieu Tout-Puissant. Dans ce cas, tout musulman qui jouit de la liberté de pensée religieuse a le droit de penser librement, a-t-il suivi.
« L'une des caractéristiques des musulmans est de respecter les savants et les autres religions et de ne pas les insulter. Tout musulman chiite ou sunnite doit respecter les autres écoles de pensée islamique, notamment les écoles Jafari, Hanafi, Shafi'i, Maliki, Hanbali et Zaidi, qui sont les écoles islamiques les plus connues.", a-t-il ajouté.
