Des fusillades à Qods font au moins neuf blessés israéliens
Taghrib(APT)
Taghrib(APT)-Au moins neuf colons israéliens ont été blessés, certains grièvement, après qu'un attaquant armé ait ouvert le feu sur un bus et sur d'autres lieux dans la ville occupée d'al-Qods.
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Les premiers rapports des médias sionistes ont indiqué qu'il y avait eu deux attaques dans deux quartiers distincts de la ville occupée d'al-Qods.
Ils ont déclaré que des coups de feu avaient été tirés en direction d'un bus sur une route près du Mur occidental, ainsi que sur un parking situé à l'extérieur de l'une des portes de la vieille ville d'al-Qods.
Quelques heures plus tard, la chaîne israélienne Channel 12 a rapporté que l'opération était complexe et s'est déroulée en trois endroits différents, puisqu'elle a visé un bus israélien, puis un véhicule, et enfin des colons piétons.
La chaîne d'information israélienne Kan a déclaré que l'opération a été menée par un seul homme armé qui a tiré 10 coups de feu en 10 à 15 secondes, visant un bus et deux véhicules, avant de se retirer des lieux.
Le rapport note qu'après la fusillade, les forces du régime ont empêché tous les colons de sortir par le mur al-Buraq à al-Qods.
Selon des sources palestiniennes, un grand nombre de forces israéliennes ont pris d'assaut le quartier de Silwan à al-Qods, à la recherche de l'agresseur.
Elles ont ajouté que des drones israéliens ont également survolé le quartier de Silwan à la recherche de l'attaquant, qui est toujours en fuite.
Le mouvement de résistance palestinien, le Hamas, a réagi à l'opération d'al-Qods, la décrivant comme une réaction naturelle des Palestiniens aux actes d'agression commis par les colons israéliens et à leurs crimes quotidiens contre "notre peuple, notre terre et nos lieux sacrés."
Fawzi Barhum, porte-parole du Hamas, a déclaré : "Les mesures de répression des occupants et l'intensification des mesures de sécurité contre notre peuple à al-Qods n'affaibliront pas leur détermination."
Pas moins de 74 Palestiniens, dont 37 enfants palestiniens, ont été tués depuis le début de l'année, souvent à la suite de l'utilisation de la force meurtrière par les autorités israéliennes, d'une manière décrite par le Bureau des droits de l'homme des Nations unies dans les territoires occupés comme une violation du droit international des droits de l'homme.
