Jamais l’Iran ne représentera de menace pour un pays ni ne déclenchera de guerre, mais si un pays commet une erreur de calcul, la stratégie de Téhéran sera offensive.
Tout le monde dit que les Kurdes sont les grands perdants du retrait des troupes américaines du sol syrien, mais peu d’analystes parlent de la France, dont le président se sent sous une pression accrue depuis l’annonce de la décision très controversée de son homologue américain.
Le tweet paru le 19 décembre dernier sur le compte de l’ambassade des États-Unis à Riyad a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux saoudiens. De ce fait, l’ambassade a préféré supprimer son message de son compte.