Les rebelles syriens ont promis de reprendre le combat contre l'armée syrienne en cas d'échec des négociations de paix qui ont débuté lundi à Astana sous le patronage de la Russie, de la Turquie et de l'Iran.
Le premier procès de soldats accusés d'avoir pris part à Istanbul à la tentative de coup d'Etat en juillet s'est ouvert lundi, plus de 60 militaires turcs étant jugés pour avoir essayé de s'emparer d'un aéroport.
Rompant avec la ligne traditionnellement suivie par les Etats-Unis, Donald Trump avait promis durant sa campagne de reconnaître Jérusalem capitale d'Israël et d'y transférer l'ambassade américaine, au grand dam des Palestiniens et de la majeure partie de la communauté internationale.
L'Iran a promis "d'agir en conséquence", si le président des Etats-Unis, Donald Trump, décide de ne pas respecter l'accord sur le nucléaire iranien, signé en 2015 entre l'Iran et six puissances mondiales, a rapporté la télévision Press TV dimanche.
De violents combats entre l'armée et les rebelles sur la côte ouest du Yémen, accompagnés de raids aériens, ont fait au moins 66 morts en 24 heures, ont indiqué dimanche des sources médicales et de sécurité.
Les cours du pétrole étaient orientés à la hausse lundi en Asie, au lendemain d'une réunion à Vienne des pays producteurs qui ont estimé que l'accord de décembre était bien respecté.