La colère de la Turquie est liée à l'annonce, dimanche, d'un projet de création par la coalition américaine d'une "force frontalière" forte de 30.000 hommes dans le nord de la Syrie.
Le chef du Hezbollah libanais Hassan Nasrallah a dénoncé vendredi le maintien de troupes américaines dans ce pays, y voyant un "prétexte" pour avoir des "bases" au Moyen-Orient.
L'ex-responsable militaire et actuellement président égyptien a annoncé sa volonté de se présenter comme le candidat à l'élection présidetielle égyptienne.