Nos recherches sont restées dans les hawzas

Répondant aux questions  du centre des communications et des relations internationales, l'ayatollah Mohsen Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique a insisté sur la vision mondiale dans les hawzas.
 
Vue la situation actuelle du monde et celle survenue dans les technologies liées à la communication, tous les pays ont des relations et s'influencent mutuellement. Les écoles religieuses doivent instruire les gens qui savent ce qui se passe dans le monde, a-t-il indiqué.

Aujourd'hui, les politiciens qui désignent la politique mondiale affirment que la disparition des traditions régionales au profit d'une tradition est une prospérité. Cette tradition unique est celle de ces politiciens. Donc, il faut que nous ayons la possibilité d'affronter cette idée, a-t-il dit.
  
Nous devons renforcer le contenu de l'apprentissage dans les écoles religieuses. Cela ne signifie pas laisser du côté les contenus actuels. Nous devons ajouter à ces contenus pour que les religieux puissent répondre à différentes questions, a-t-il expliqué.

Lier la relation entre les hawzas et les centres de recherche est très important. Malheureusement, nos recherches sont restées dans les écoles et le monde ne sait pas l'existence de ces recherches, a-t-il ajouté.