L'Iran pose des conditions pour que les États-Unis ne se retirent pas du PAGC

Le "Wall Street Journal" a affirmé dans un article qu'après six cycles de négociations organisés à Vienne, les États-Unis, qui étaient indirectement impliqués dans ces discussions, ont exprimé leur désir d'abandonner leur plus puissant levier de sanctions afin de relancer le PAGC, tandis que les négociateurs iraniens souhaitent que davantage de demandes soient satisfaites.

Selon le journal, la dernière demande de l'Iran est que l'administration de Washington accepte une clause qui conditionne le retrait américain à un accord de l'ONU, de peur que l'erreur délibérée de Donald Trump de se retirer unilatéralement du PAGC ne se répète.

Ceci alors que les États-Unis, dans la continuité de leurs excuses, affirment que l'inclusion d'une telle clause dans l'accord est contraire à leur Constitution et que le président américain ne peut pas persuader le prochain Congrès de changer son approche politique, même avec l'approbation du Sénat.

Le Wall Street Journal avait précédemment affirmé que les États-Unis souhaitaient exercer une pression sur les ventes de pétrole iranien à la Chine afin de maintenir la partie iranienne à la table des négociations.