"Indépendamment de toutes les failles formelles et substantielles de la publication de la résolution politique de l'Assemblée générale des Nations unies sur la situation des droits de l'homme en République islamique d'Iran et du processus actuel imparfait et défectueux, qui n'aboutit à rien d'autre qu'à des violations des droits de l'homme et à une distorsion des mécanismes des Nations unies en matière de droits de l'homme et à une politisation du concept sacré de droits de l'homme, il faut noter que selon les dispositions de la résolution A / RES / 74/167, le mandat du Secrétaire général est spécifiquement de "faire rapport sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la résolution". Par conséquent, d'un point de vue logique, ce rapport aurait dû examiner à la fois les aspects positifs et négatifs de la situation des droits de l'homme, et en plus de mentionner les allégations de violations des droits de l'homme, les cas de protection et de promotion de la situation des droits de l'homme auraient également dû être examinés ; mais, malheureusement, le présent rapport, indépendamment de la justesse ou de la fausseté des allégations et des accusations qu'il contient, se concentre entièrement sur les cas et les allégations négatives, et les efforts, les mesures et les actions qui ont pour résultat la promotion de la situation des droits de l'homme en Iran n'y sont pas inclus et n'y ont pas leur place", a écrit Baqeri Kani.