Lors d’un discours prononcé tout de suite après l’annonce de la mort en martyr du président du Conseil politique suprême du Yémen, Saleh al-Sammad, le leader du mouvement yéménite Ansarallah, Abdul-Malik al-Houthi, a jugé l’Arabie saoudite et les États-Unis responsables de ce « crime » qui, selon lui, ne restera pas sans réponse.